Les 4 accords Toltèques appliqués à la Parentalité
📑 Sommaire
Si tu t’intéresses à la Parentalité et au développement personnel, peut-être as-tu déjà entendu parler des 4 accords Toltèques.
4 petits principes, mantras ou règles de vie très simples, qui, lorsqu’ils sont appliqués permettent de se sentir aligné avec soi-même et une meilleure relation avec les autres !
C’est pourquoi aujourd’hui je souhaite te les présenter sous l’angle de la relation avec ton enfant, et comme d’habitude te partager ma vision concrète de leurs mises en pratique !
Pourquoi appliquer les accords toltèques dans ta parentalité ?
Tu le sais, je suis une fervente croyante et pratiquante que le développement personnel et la parentalité sont étroitement liés. Nous grandissons en tant que personne, qu’être humain, grâce à nos enfants.
Si toi aussi tu en es convaincu.e, je t’invite à t’inscrire à la liste d’attente de la formation “S’élever en même temps que son enfant” qui allie Parentalité et Développement personnel.
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Pour les transmettre à ton enfant
Alors, naturellement, je souhaite te partager ma vision des Principes toltèques, car ils véhiculent des valeurs importantes à transmettre à ton enfant, toi qui est dans la démarche d’une Parentalité Bienveillante, respectueuse, empathique.
C’est finalement dans la continuité de ton choix d’éducation.
Et comme je te le répète très souvent, les enfants ne font pas ce qu’on leur dit, mais ce qu’ils voient.
Quoi de mieux pour transmettre ces valeurs à ton enfant que de les incarner toi-même ?
C’est le principe même de l’apprentissage des enfants : le mimétisme.
Pour l’aider à se construire une petite voix intérieure juste et soutenante
La seconde raison qui me conduit à te montrer le lien entre ces accords toltèques et ton choix de parentalité, c’est que les appliquer permettront à ton enfant de se construire une petite voix intérieure juste et soutenante. Et non pas cette petite voix, que tu connais peut-être que trop bien qui te répète “tu es nul.le”, “tu n’en es pas capable”, “tu n’en vaux pas la peine”.
Tu la connais cette petite voix intérieure qui sape ta confiance en toi, ton estime de toi ?
Et si je te disais qu’appliquer les accords Toltèques te permettraient de :
- La réparation, le réajustement de TA petite voix intérieure
- Permettre la construction d’une petite voix juste et soutenante pour ton enfant
Ça te dit ?
Alors, entrons dans le vif du sujet !
Accord Toltèque N° 1 : Que ta Parole (de parent) soit impeccable
S’il ne devait en rester qu’un, ce serait celui-ci. C’est le pilier central duquel se déclinent les autres principes.
Ce principe met en avant le pouvoir des mots.
Les mots prononcés, mais également ceux que nous pensons intérieurement.
Quelques fois, nous pouvons avoir des mots durs à l’encontre de notre enfant, qui peuvent le blesser.
J’utilise souvent la métaphore des mots cailloux quand j’explique à mes enfants le pouvoir des mots. Certains mots sont lancés à l’autre et peuvent heurter. Ces mots sont comme des cailloux lancés vers une personne : Ils blessent. C’est de la violence et donc un comportement non acceptable quand il s’agit de ton enfant. Mais cela l’est tout autant lorsque c’est toi qui parles à ton enfant.
Il est donc important de faire attention aux mots.
Les 3 passoires de Socrate pour évaluer le poids des mots
Pour cela, j’aime beaucoup me rappeler l’exemple de Socrate et des 3 passoires. https://celinevallieres.com/les-3-passoires-de-socrate
Si une information ne passe pas ce test des 3 passoires, les 3 questions de Socrate, alors la parole n’a pas lieu d’être.
Les 3 questions sont :
- Est-ce la vérité ?
- Est-ce que cela est bon pour celui qui écoute ?
- Est-ce que cela est utile ?
Si ce que tu souhaites dire à ton enfant ne répond pas à ces 3 critères, c’est que les mots prononcés peuvent potentiellement être blessants pour ton enfant.
Je parle des mots utilisés lorsque tu communiques de manière verbale.
Mais le principe de la parole impeccable est tout aussi important et puissant quand il s’agit des mots qui sont dans tes pensées ! C’est cette fameuse petite voix intérieure dont je te parlais.
Surveille ta petite voix intérieure, la façon dont elle te parle, les mots qu’elle emploie, son ton. Car les mots qu’elle utilise ont leur importance…
Les mots dits ou pensés sont des révélateurs
Les mots que tu emploies dans tes pensées ou dans tes paroles sont finalement le révélateur de ce que tu penses de toi en ton for intérieur.
Je deviens ce que je pense de moi
Tu te souviens, dans l’épisode 34 concernant le piège du “je suis”, du verbe ÊTRE, je t’ai expliqué le pouvoir entre ce que tu penses et ce que tu deviens. Ton cerveau (comme le mien et celui de ton enfant) ne fait pas la différence entre l’imaginaire (tes pensées) et la réalité. Pire, il fera tout pour coller à ta réalité intérieure. Pour creuser le sujet, je te recommande cet épisode !
Tu comprends donc pourquoi il est essentiel pour toi, mais aussi pour ton enfant que ta parole soit “impeccable”.
Impeccable signifie ici respectueuse, bonne, vraie, utile : les fameuses 3 passoires de Socrate !
Ainsi tu te permets de réajuster ta petite voix intérieure et donc de construire ta confiance en toi. Mais en adoptant ce principe avec ton enfant, tu agis également sur votre relation en faisant un pas de plus qui t’éloigne d’un modèle de domination, pour avancer dans la création d’une relation d’égalité et de coopération.
C’est gagnant-gagnant pour tout le monde !
Et plus encore si tu étends ce principe à toutes tes relations : couple, famille, amis, travail, etc.
Ma proposition pour mettre en application le principe d’une Parole Impeccable
Surveille tes pensées (attention au verbe être)
1er levier d’action : surveille ta petite voix intérieure, et reprends-la dès qu’elle dérape.
Que ce soit lorsqu’elle est critique, négative envers toi. Ou bien lorsqu’elle cherche à te coller une étiquette en te disant “je suis (…)”
Au départ, tu auras l’impression que ta petite voix ne changera pas. Alors je te propose un petit outil de coaching pour casser cette mauvaise habitude de tes pensées et accélérer dans la transformation.
C’est ce que l’on appelle en coaching une rupture de pattern.
Cela signifie créer un ancrage fort, choquant qui perturbera ton réflexe de pensée critique vis-à-vis de toi même dans ce cas.
Cela peut être de lui montrer à quel point cette pensée est ridicule en lui chantant un air ridicule. Une des mamans que j’ai accompagnées se fredonnait la musique “Kurukuku” quand elle se parlait mal “j’suis trop bête”, etc.
Pour ma maman, j’ai choisi une rupture de pattern plus vulgaire. Le but c’est de choquer ton esprit pour lui faire repérer l’habitude que tu cherches à déconstruire.
Quand j’entends ma maman se dire “j’suis trop nulle” ou autre petite voix dévalorisatrice, je l’appelle par son prénom composé en entier (qu’elle a en horreur), ponctué d’un “ta gueule !”.
Ça donne quelque chose du style “Ta Gueule Marie Aglaé” ! (j’ai changé le prénom et je m’excuse auprès des Marie-Aglaé, je n’ai rien de personnel contre vous !!)
Mais tu le comprends, le but est de surveiller ta petite voix, d’utiliser une rupture de pattern si tu veux accélérer la déconstruction / reconstruction de tes automatismes…
Dans le but que ta parole vis-à-vis de toi même soit impeccable !
Dissocier Comportement et Identité !
Ma proposition pour ce qui concerne la communication avec ton enfant est de garder en tête la dissociation du comportement de ton enfant de son identité.
Concrètement ?
Ce n’est pas parce que ton enfant a fait tomber son verre qu’il est maladroit ou qu’il manque d’attention
Ce n’est pas parce qu’il a fait quelque chose de stupide qu’il est stupide.
Ce n’est pas parce que ton enfant a frappé son camarade qu’il est violent.
La liste est longue.
La clé est d’insister sur le comportement, pas ce que nous jugeons de qui il est.
Comment dissocier le comportement de l’identité ?
Ton enfant n’est pas maladroit, inattentif, bête ou violent.
Cela ne le définit pas. Sans quoi, cela va petit à petit s’ancrer en lui comme sa petite voix intérieure…
Oui, ton enfant a fait tomber son verre.
Tu peux alors exprimer ton émotion (la fameuse parole impeccable) sans pour autant porter un jugement, une étiquette :
“Zut, je l’aimais beaucoup ce verre. Et tout ce verre cassé, j’ai peur que quelqu’un se blesse, et cela ajoute une tâche de plus à faire… Ça me contrarie beaucoup !”
Son comportement ne brille pas d’intelligence, tu peux le lui communiquer sans pour autant l’humilier “Tu es idiot ou quoi ?”.
Par exemple se coincer les pieds dans son pantalon en le retirant (oui, exemple tiré de mon vécu !)
Au lieu de dire à mon enfant qu’il n’est pas malin d’avoir retiré ainsi son pantalon pour se retrouver coincer avec le pantalon à l’envers, coincé aux chevilles, je préfère la formulation plus positive :
“OK, réfléchi, comment as-tu fait pour en arriver là ? Je suis surprise que tu te sois coincé ainsi. Tu veux que je te remontre comment faire pour éviter ce problème à l’avenir ? Rappelle-toi : quelle est la 1ère étape.”
Tu vois, je nomme mon émotion de manière neutre “je suis surprise”, j’encourage la recherche de solution et au besoin j’apporte mon soutien pour l’aider à apprendre et s’améliorer.
Accord Toltèque N°2 : N’en fais pas une affaire personnelle
Conséquence directe du 1er principe Toltèque :
Le 2ème principe découle directement de celui de la parole impeccable.
Comme on l’a vu ensemble, les mots ont un pouvoir et reflètent nos pensées.
Et bien, cela est également valable pour les autres.
Tu sais, c’est cette fameuse citation dont je t’ai déjà parlé à plusieurs reprises (notamment dans l’épisode 18 concernant la honte du comportement de ton enfant)
Les mots des autres sont les maux des autres.
Et bien ce qui concerne tes choix de parent, ne fais pas une affaire personnelle de ce que pensent ou disent les autres autour de toi.
ne fais pas une affaire personnelle de ce que pensent ou disent les autres
Ne laisse pas les autres dicter tes choix en tant que parent, te donner ta “valeur”.
Si certaines personnes jugent tes décisions, tes choix, cela ne reflète finalement que leurs propres craintes, croyances ou peut-être regrets.
Ne te laisse pas contaminer par les jugements des autres. il y aura toujours quelqu’un à y redire.
Et chercher à plaire à tout le monde ou à correspondre à certains standards de notre société, c’est encore le meilleur moyen pour te désaligner et t’éloigner de qui tu es, de ton toi profond !
Alors, ne prends pas pour toi les critiques que l’on peut ouvertement ou insidieusement te faire passer. Cela ne te concerne pas. Cela a tout à voir avec les pensées des autres !
Tu comprends donc que la confiance en toi est le meilleur rempart pour éviter ce piège… Mais on y reviendra !
ne fais pas une affaire personnelle De ce que fait ou dit ton enfant
L’autre point que je souhaite te révéler concernant le principe de ne pas en faire une affaire personnelle, c’est de te sentir finalement lié.e au comportement et actions de ton enfant.
Ce que je veux dire, c’est que l’on a souvent tendance à croire (consciemment ou non) que nous sommes jugés en tant que parent par le comportement de notre enfant.
Si, tu sais, ces fameuses phrases du genre “tiens-toi bien quand tu seras chez ton ami”, ou bien encore “ne me fais pas honte dans le magasin”, etc.
Sauf que si nous éduquons nos enfants (je n’aime pas ce mot, mais accompagner n’a peut-être pas le sens assez fort que je souhaite faire passer) nous nous sentons souvent responsables de leurs actes.
Sauf que ce n’est pas 100% exact. Notre façon d’accompagner nos enfants est une chose. Mais nos enfants ont aussi leur libre arbitre, leur personnalité. Nous ne sommes pas responsables de ce qu’ils intègrent, choisissent !
Et donc ton enfant n’est pas la représentation de ta valeur en tant que maman, en tant que papa !
Nos enfants ne sont pas des vitrines de nos succès ou échecs en tant que parents !
Il s’agit donc avec ce 2ème principe d’intégrer l’idée de se détacher de ce que le comportement de ton enfant peut dire de toi. De ne pas faire de ses actes, une affaire personnelle, en lien avec toi !
Ma proposition : Construire son bouclier mental
Ma proposition est donc de te proposer une forme de détachement du jugement des autres à travers leurs mots. Le bouclier mental c’est te rappeler que les mots des autres sont les maux des autres. Dans le but de faire taire cette petite voix qui te juge et résonne avec les paroles des autres.
Et si tu es touché.e par ce qui t’est dit, par la façon d’agir de ton enfant, je t’invite à te poser cette question :
Qu’est ce que cette émotion t’apprend concernant un besoin à combler ou une valeur heurtée ?
De cette façon, tu pourras renforcer ton bouclier mental. Tu pourras identifier un besoin à combler : besoin de confiance en toi, en l’autre, besoin d’amour, de reconnaissance, besoin de temps pour toi. Ou bien cela te renseigne sur une valeur importante à tes yeux et tu seras en mesure de la communiquer à ton enfant pour lui expliquer en quoi son comportement t’a heurté, ce qui est important pour toi.
Si tu désires creuser la question des émotions et des besoins, tu peux télécharger gratuitement mon guide la boussole des émotions.
Accord Toltèque N°3 : Pas de supposition !
Le piège des distorsions cognitives
La 3ème principe Toltèque est de ne pas faire de supposition.
Si tu me connais un peu, tu sais que je t’en ai déjà parlé dans l’épisode 4 concernant les 2 raisons pour lesquelles toi et ton enfant vous ne vous comprenez pas. Car la supposition est finalement une distorsion cognitive. C’est considérer que l’autre pense comme nous et que donc notre interprétation de ce que l’on constate est correcte !
Et c’est un piège très courant!
Faire des suppositions peut donc générer beaucoup de malentendus et de quiproquo avec ton enfant, qui va venir abimer votre relation.
Cela peut nourrir un sentiment d’injustice ou de jalousie chez ton enfant.
Par exemple : Des traces de feutres sur le mur. La supposition classique est de penser qu’il s’agit de ton enfant, notamment le plus jeune.
Quand ton enfant se dispute avec un autre et que l’on arrive pour constater les dégâts : des cheveux arrachés, une marque de dents sur le bras, une rougeur sur la joue, on suppose en tant que parent que l’agresseur est celui qui est indemne…
Sauf que ce n’est pas toujours le cas et que l’on se trompe!
La raison ? Nous n’étions pas là, ou bien nous n’avons pas connaissance de tout le contexte antérieur !
Tu comprends donc pourquoi ne pas supposer est un principe important !
Mais comment faire concrètement avec ton enfant ?
Ma proposition : Reste factuel.le + Communication (rappel de la règle)
Ma proposition de solution, c’est à la manière d’un médiateur ou d’un enquêteur, de te baser uniquement sur les FAITS.
Reste factuel.le sur ce que tu constates : 2 enfants qui se disputent et se blessent, un mur abîmé plein de feutres.
Et rappelle ta règle : Les feutres servent uniquement sur une feuille de papier. Les murs restent blancs (ou de la couleur initiale). La violence est inacceptable. On a le droit de ne pas être d’accord, mais on cherche un compromis sinon on demande l’aide de maman de papa.
Mon petit tip que je t’ai partagé dans l’épisode 17 sur les 7 erreurs pour éviter les conflits dans la fratrie, qui est autant valable pour les bêtises que pour les disputes.
Je précise systématiquement :
“Je ne veux pas savoir QUI (…), mais je vous rappelle à tous la règle : (…)”
Ainsi, je reste factuel : je ne veux pas savoir qui a écrit sur le mur, qui a tapé, mordu, poussé.
Cela évite beaucoup de sentiment négatif chez ton enfant : la honte, l’humiliation, la jalousie, l’injustice qui peuvent être induites par des suppositions.
Mais au contraire, ancre positivement ce qui est attendu.
Accord Toltèque N°4 : Fais de ton mieux
Attention de ne pas te méprendre !
Oui, je la vois la perfectionniste en toi qui pointe le bout de son nez en disant
“Ah bah voilà, tu vois bien qu’il faut qu’on fasse tout au top !”
Eh non, raté !
Tu peux retourner prendre des vacances la Perfection, car on n’a définitivement pas besoin de toi dans notre vie de parent !
Bienveillant.e envers toi-même en tout premier !
Ce que dit ce 4ème accord toltèque concernant ta parentalité, c’est finalement ce dont je t’encourage à travers ce site et ce podcast.
Faire de son mieux, cela signifie fais du mieux que tu peux, avec l’énergie dont tu disposes à l’instant T, en fonction de ce que tu es en train de vivre, de ressentir.
Finalement, c’est d’être bienveillant.e avec toi en tout premier.
D’accorder de la souplesse, de la tolérance et ne pas exiger de toi le maximum qu’importe ce que tu vis, ressens… le fameux “à tout prix”.
Faire de ton mieux, c’est prendre en considération que le “mieux” est variable. Tu peux être malade, fatiguée, stressée, tu as pu recevoir une bonne comme une mauvaise nouvelle. Ton “mieux” ne sera pas le même en fonction de ce que tu vis ! Il est variable à tout instant.
Et bien faire de ton mieux, c’est l’accepter et le prendre en compte !
Aparté pour les mamans
Faire de son mieux c’est également prendre en considération les changements hormonaux auxquels nous sommes confrontés et particulièrement nous, les mamans.
Autant il est faux et sexiste de penser que nous sommes hystériques lorsque nous avons nos règles.
Autant il est juste d’apprendre à connaître ses cycles. Chaque femme les vivra d’une façon qui lui est propre.
Mais apprendre à connaître ton cycle et donc les niveaux d’énergies qui y sont associés est grandement utile pour te permettre de “faire de ton mieux”. C’est apprendre à surfer sur son cycle comme le dit Gaëlle Baldassari, autrice du livre Kiffe ton cycle.
À titre personnel je sais que juste avant d’avoir mes règles ou au tout début, je suis pendant 36/48h complètement vide. Donc, si cela tombe sur un déplacement de mon mari ou un mercredi avec les enfants, je n’ai plus aucun scrupule de faire au plus simple : Soirée petit déjeuner (je remplace le dîner par un petit déjeuner), je ne vais pas m’aventurer au parc ou faire une activité avec les enfants le mercredi, mais plutôt la jouer cool : un tour de quartier en trottinette (pour leur besoin de se dépenser) et des activités simples : coloriage tous ensemble, moi compris, puzzle ensemble, etc.) pour terminer par un dessin animé en mode larve sur le canapé.
Faire de ton mieux, c’est savoir passer en mode survie si besoin est, sans culpabiliser.
Faire de ton mieux, c’est apprendre à te lâcher la grappe, et d’embrasser la Maman Parfaitement Imparfaite que tu es !